Cette génération Y que nous connaissons encore si mal
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Cette génération Y que nous connaissons encore si mal

Si vous pensez qu’il y a un fossé entre la génération de vos parents et vous, celui qui nous sépare de nos enfants est encore plus grand. La génération « Y » mérite qu’on ne la sous-estime pas et que l’on prenne un peu la peine de l’étudier.
Sceptique et méfiante, elle semble moins impliquée à bien des égards.
Eco-consciente et soucieuse de l’avenir, elle est plus individualiste.
Connectée et plus structurée en tribus qu’en organisation hiérarchique, elle a une vision plate du monde même si aujourd’hui elle a tendance à se sentir écrasée.
Elle préférera amener de la vie privée au travail, que du travail à la maison et ne voit pas son plan de carrière comme une fin en soi.
Sur-qualifiée, agile avec les technologies, elle observe, résiliante, les miettes que les générations supérieures concèdent à lui laisser, en attendant mieux.

Ses aspirations seront sociales, voire même utopiques (créer un monde meilleur) et leurs modèles ne sont pas dogmatiques.  Le 20° siècle a écrasé tout ce qui pouvait leur rester de confiance dans les institutions ou dans le système.

Si on leur fait confiance et que l’on accepte de leur laisser construire un nouveau système, nous serons capables d’innover, car leur vision est unique.

Si vous vous adressez aujourd’hui à cette génération que vous voulez comme consommateurs ou futurs collaborateurs, il va falloir accepter d’être différent et de remettre en cause vos modèles.
Férus de dialogue constructif dans lequel ils auront leur part de contribution, ils ont besoin du net et de son mode de fonctionnement comme nous des institutions avant.

Si vous avez encore besoin de vous persuader du fossé qui existe, lisez ce billet d’OWNI qui a inspiré celui-ci et prenez des notes.  Il va falloir intégrer ce changement dans votre approche marketing si vous visez cette génération.

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